Cecile Coulon pour ” la langue des choses cachées” aux éditions L’iconoclaste”

À la tombée du jour, un jeune guérisseur se rend dans un village reculé. Sa mère lui a toujours dit : “Ne laisse jamais de traces de ton passage.” Il obéit toujours à sa mère. Sauf cette nuit-là.

Fond du puits est un village où règnent la violence et la grisaille. Tout est sombre et sale, même les murs des maisons suintent de graisse et de secrets.
Suivant les traces de la mère, qu’on appelait afin de guérir les corps souffrants, le fils rend visite à un jeune garçon malade. Dans la vieille bâtisse crasseuse, le bruit des choses cachées se fait intense, à la limite du supportable. Le fils sait tout, il entend tout, si fort…

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