27 septembre et la page est toujours blanche . Ce ne sont pas les sujets qui manquent , c’est plutôt leur abondance qui explique cette mutité littéraire à laquelle j’ai succombé jusqu’à ce jour où, enfin, je me décide à choisir ce qui, au fond, me tient le plus à cœur. Mon grand âge explique sûrement ces atermoiements. Mais aussi un certain jeunisme véhiculé par la pub où les adultes sont remis à leur place par de jeunes enfants. Finalement, je cède à mes penchants et prend le risque de rejoindre la catégorie (...)