C’est connu, fulminer nuit gravement à la santé, mais tant pis. Car, quittant mon ermitage pour parcourir le vaste monde, deux évènements me firent prendre conscience de la vraie vie d’où la raison de ce texte incisif en pleine période d’angélisme festif. Je fus récemment, à la faveur d’une grève enseignante, au petit matin, pris en otage par TF1. Vous avez bien lu, ne cherchez pas l’erreur. J’avais pour mission de veiller sur la sérénité de la progéniture de ma progéniture, en ce début de journée de (...)