Retrouver son clavier, un jour de pluie, alors que tout incite à la réserve et à la mélancolie, c’est finalement sacrifier à ce qu’il est convenu d’appeler le devoir. Et , je dois l’avouer, Boutin me manque , et son absence même m’attriste et me châtre l’imaginaire. Ceux qui me connaissent savent la méfiance que m’inspirent les muses et les égéries. Mais, quand même, elle contribuait à entretenir un climat ou indignation et dérision se disputaient le premier plan. Je me sens orphelin et toutes mes tentatives (...)
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