Sans toit ou mal-logé-es, précaires ou en galère, on passe de lieu en lieu pour dormir, manger, se laver, s’abriter, se loger, faire ses papiers, mais aussi construire des projets, monter des actions collectives… Les lieux manquants, on les imagine, on les demande, on se les approprie. Le 11 juin : les gens de la rue sont des habitants, comme les autres pour une journée de fête, de débat et de rencontres pour parler de ce que c’est qu’habiter à la rue, des parcours dans la ville, des projets de (...)