Dans les cascades d’actualités fétides déversées, des bancs de harengs serrés nagent dans la « densité creuse » de nouvelles toutes plus désolantes et accablantes les unes que les autres et traitées avec mépris pour les consciences, telles de vulgaires os à ronger pour combler le vide de nos existences d’humains connectés. Si nous n’y prêtons pas attention, nous empilons journée après journée un chaos fourni et servi chaud qui annule la possibilité pour beaucoup d’entre nous d’avoir une pensée vivante et (...)