N’était l’attachement sincère et profond qui me lie depuis des lustres à Radio-Grésivaudan et à son bien aimé directeur, j’aurai volontiers renoncé à editorialiser à un moment où choses et gens m’inciteraient plutôt à prendre quelque distance d’avec ce qu’il est convenu d’appeler l’actualité. Et de là où j’écris ces quelques lignes, le bleu du ciel, la douceur de l’air, le bon vin et le chant des cigales invitent à cultiver farniente et rèveries plutôt qu’indignation ou chagrins du temps. Moments rares en ces lieux (...)