Quand ta petite voix intérieure devient grosse machine à broyer du noir, baisse le volume. Si elle s’acharne à prendre son air le plus sombre, le plus maussade, le plus cruel, ajoutes-y quelques banjos et deux trois guirlandes lumineuses... Tu verras, ça passera mieux ! C’est un peu pareil avec un édito... Quand ta petite voix intérieure te dit que tu ne réussiras pas à faire la peau de ton prochain édito, baisse le volume et assis toi devant ton écran dont tu augmenteras la luminosité au maximum. (...)