Ainsi donc, tout serait dit, si l’on en croit les gazettes bien pensantes. Il ne me resterait alors que mes yeux pour pleurer et l’encre de mon stylo pour déplorer la fin (provisoire ?) d’une bataille. La lutte continue me souffle mon voisin quasi sexagénaire en quête de reconnaissance professionnelle depuis 39 mois. Bon ! Mais entre temps que me mettre sous la dent qui justifie de noircir du papier dans l’espoir de susciter l’intérêt du lecteur, fut-il unique et bienveillant. Sachant que ma feuille (...)