Les délocalisations dans le Grésivaudan sont-elles une fatalité ?

jeudi 26 mars 2009 par Radio-Grésivaudan

C’était la question posée au public lors de deux soirées débats avec pour introduction une séance cinématographique sur le sujet à l’espace Aragon de Villard-Bonnot.
A la tête de cette initiative, ATTAC Grésivaudan Isère (Association pour la Taxation des Transactions pour l’Aide aux Citoyens) avec la présence de délégués syndicaux de la CGT.
Partant d’exemples concrets de la vallée, et il y en a ! , la salle comme les intervenants en arrive bien souvent à cette fichue mondialisation. Bref, comment résister face au capitalisme ou bien faire tomber ce système pour reparler un jour de réels bénéfices et non plus de profits.
Plusieurs pistes furent abordées pour s’en remettre finalement aux politiques. C’est ainsi que nous avons pu entendre un nouveau mot dans le vocabulaire d’une possible politique industrielle du Grésivaudan : La relocalisation.
Est-ce possible localement ou bien faut-il y répondre internationalement ? C’est la question posée à l’assemblée lors du 5 ème congrès de l’Union Locale CGT du Grésivaudan qui se tenait cette semaine à Le Cheylas, nous y avons rencontré 2 syncalistes CGT du Burkina Faso invités à porter leur regard sur la crise actuelle.
Avec :
François Chantran et Hugues Levasseur, membresd’ATTAC Grésivaudan Isère.
Jean-Michel Serra, délégué syndical CGT, ex-papeterie de Lancey.
Jacky Coche, délégué de l’Union Locale CGT, ex-Rhenalu à Froges.
Des personnes dans le public...
Sagado Nacanabo, secrétaire confédéral chargé de l’organisation et de l’information.
Etienne B.Convolbo, secrétaire général adjoint de l’UL-CGT-B du Kadiogo.
Et la participation de notre invité du direct, Dominique Rousseau, délégué syndical CGT à Tyco-Electronics.



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